Cette année le festival Les Aralunaires aura lieu sur le ULiège Arlon Campus Environnement du 8 au 12 septembre 2021.

Dans la lignée de ce que propose Les Aralunaires depuis leur création en 2009, l’ovni du sud du pays met encore cette année à l’honneur les artistes et les labels indépendants, les projets émergents et les expériences sensorielles aventureuses. 5 jours, 18 artistes et le tout au coeur du parc du Campus ULiège Environnement.

Lien vers l’évènement ici

 

Ce vendredi 27 août,  tout le personnel du campus s’est réuni autour un atelier participatif pour réfléchir ensemble à nos ambitions pour l’avenir du campus, et aux principes qui nous permettront de les réaliser. Ces réflexions ont été nourries par les idées des citoyen(ne)s, jeunes chercheur(se)s et étudiant(e)s, qui ont émergé lors de l’atelier du jeudi 26 août. À l’issue de cet atelier, des propositions d’activités ont germé, mais aussi une série de principes permettant la rédaction d’une charte.


Pourquoi une charte GO Transition.s ?

Au printemps 2021, les membres du campus ULiège-Arlon environnement ont formulé une intention pour développer un projet fédérateur sur le campus à l’occasion de ses 50 ans :

« Faire du campus un laboratoire ouvert afin de penser, débattre et mettre en action la transition écologique, un lieu de rencontre entre ‘expert.e.s’ et ‘citoyen.ne.s’ ;         élaborer un projet qui cible particulièrement les étudiant.e.s, les citoyen.ne.s, et les jeunes chercheur.se.s comme acteur.trice.s de la transition à l’horizon 2030. »

Cette intention donne la visée du projet GO Transition.s, un processus d’une année (2021-2022) au cours de laquelle les membres du personnel du campus organiseront une série d’activités qui permettront de préciser le projet fédérateur du campus à l’horizon 2030-2040. Avec cette charte, nous souhaitons équiper l’intention d’une série de principes qui orienteront notre manière d’organiser les activités GO Transition.s. Cette charte est donc valable pour toute la durée du projet GO Transition.s, d’août 2021 à juin 2022.

Autrement dit, la définition et la réalisation des activités est laissée à l’initiative, à la créativité et à l’engagement des personnes concernées par l’avenir du campus et qui se mobilisent au sein du projet GO Transition.s. Les signataires de cette charte s’engagent à l’appliquer dans l’organisation de leurs activités, et à l’utiliser comme ressource et outil de décision.

 

Plus d’info ici

 

Crédits photos : © Michel Houet – ULiège

Pendant ce temps, sur le ULiège Arlon Campus Environnement, le projet d’une année entière “GO Transition.s” vit ses premières heures.

Le jeudi 26 août 2021, s’est déroulé un atelier participatif qui a réuni citoyen(ne)s, étudiant(e)s et jeunes chercheur(se)s autour de cette question : Comment le campus ULiege-Arlon peut-il être un lieu ouvert de rencontre entre experts et citoyens, et une ressource pour les transitions écologiques du territoire ?

À partir des attentes de chacun, le but était de faire ressortir des principes qui guideront la mise en place de nouvelles interactions entre le campus et les citoyens, autour des transitions écologiques.

Un échange créatif entre une quarantaine de citoyen.ne.s, étudiant.e.s et jeunes chercheur.se.s.
On se réjouit de voir que tout est sur les rails et qu’ici, comme ailleurs, nous sommes – collectivement – en mouvement !!!
Plus d’info ici 
Crédits photos : © Michel Houet – ULiège
 A partir du dernier week-end d’août et pendant toute une année, notre campus se transforme en “laboratoire ouvert pour les transitions écologiques du territoire” : des rencontres, ateliers et activités pour penser, débattre et mettre en action collectivement la transition écologique !

L’intention du projet GO Transition.s
Retrouvez nos nombreux rendez-vous sur cette page tout au long de l’année !
Plus d’infos ici 

Toutes nos félicitations à Corentin Hecquet, lauréat du Prix de thèse pour une Transition écologique, juste et solidaire de la Fondation Terre Solidaire!

Corentin a réalisé sa thèse au sein de notre équipe de recherche sous la direction de Pierre Stassart, et aborde le développement de semences paysannes comme enjeu de Justice écologique.

 

Une belle reconnaissance du travail effectué.

New release :“Doing the “dirty work”: how hunters were enlisted in sanitary rituals and wild boars destruction to fight Belgium’s ASF (African Swine Fever) outbreak. “
This article is a part of the thematic issue “Suidae in ritual contexts in contemporary times “ from Anthropozoologica, a journals published by the Muséum national d’Histoire naturelle de Paris.
Co-written by Pauline Emond, Charlotte Breda and Dorothée Denayer, This article aims to be a description and an ethnographic treatment of the hunting environment, the arrival of the virus and the concrete acts of animal killing.
Find the article on  Anthropozoologica.

C’est avec plaisir que nous vous informons de la publication de l’article co-écrit par Eléonore Kirsch et Dorothée Denayer, dans le nouveau numéro thématique de la revue VertigO !

L’article qui a pour titre : « Instauration et coexistence de deux communautés de pratiques sur le Plateau de Millevaches (France) : une contribution à l’étude des forêts comme terrains de vies », aborde les problématiques de gestion des forêts du Plateau de Millevaches en Limousin, en proposant une compréhension des pratiques forestières à travers les récits des gestionnaires. Sur ce territoire, deux communautés de gestionnaires rivalisent de « bonnes recettes » pour promouvoir tantôt la productivité, tantôt la biodiversité. Chaque communauté tente d’ériger son mode de gestion de la ressource forestière comme un idéal. Pourtant, ces deux dynamiques coexistent, s’influencent et reflètent ensemble une forêt complexe.

Pour le consulter en ligne, c’est par ici

L’équipe SEED est heureuse de vous annoncer la sortie du rapport citoyen effectué dans le cadre du projet TRIAL (WISD-FNRS) !

Ce rapport reprend le déroulement et l’ensemble des réflexions issues des journées citoyennes. La principale mission des citoyens impliqués dans cette expérience inédite était de produire des propositions concrètes pour contribuer au Master Plan (2020-2040) de la forêt de Saint-Michel Freyr, située au cœur de l’Ardenne belge. Ce rapport témoigne de la motivation des citoyens et de la pertinence d’un tel projet, qui a pour but de mettre en œuvre une méthode de participation qui reconnaisse et valorise les compétences citoyennes et l’importance de démocratiser la gestion forestière. Le projet TRIAL est la preuve qu’une démarche de co-construction de connaissances permet d’intenses et riches discussions, porteuses de visions d’avenir particulièrement innovantes pour penser la forêt de demain. En espérant qu’il vous inspire !

Pour consulter le rapport, suivez ce lien : http://hdl.handle.net/2268/255929

Après avoir été séparés plusieurs mois, 12 étudiants des masters “Agroécologie” (Master interuniversitaire Agroecologie – FAQ) , “ISE” et “Smart Rurality” ont pu se retrouver et s’immerger dans l’analyse d’une controverse environnementale, pendant une semaine aux côtés de leurs enseignants pour le cours “Formation par le terrain”.

La formation qui consiste à la base en une immersion sur le terrain, s’est déroulée durant 1 semaine, Covid-19 oblige, dans les locaux du Campus d’Arlon. Cette année, les étudiants ont mené une enquête autour de la gestion de la crise engendrée par l’incendie Lubrizol survenu le 26 septembre 2019. Ils ont réalisé une série d’entretiens semi-directifs en ligne avec les acteurs du territoire concernés. Cette activité a permis une reconnexion physique bienvenue entre étudiants et professeurs : Cafés, croissants, bons petits plats et rires étaient au rendez-vous, tout en gardant sérieux et rigueur de travail!

Au terme de cette semaine, trois groupes d’étudiants – les poulpes, les enquêteurs, les nomades – ont fait émerger leurs questions respectives « Comment l’évolution de la compréhension des événements influe-t-elle sur le processus de gestion de la crise ? Quelles dynamiques sociales autour des enjeux de connaissances ? Quelle Influence pour les initiatives citoyennes dans la prise de décision publique ? ». L’enquête débouchera après une analyse de leurs données sur la rédaction d’un rapport qu’ils présenteront à l’équipe de chercheurs enseignants du SEED.

Nous leur souhaitons courage et réussite pour la poursuite de leur travail !

 

Aujourd’hui nous partons à la rencontre d’Eléonore Kirsch, doctorante et assistante d’enseignement de l’équipe SEED, qui s’intéresse dans le cadre de sa thèse aux relations existantes entre les forêts et l’Homme dans la gestion de l’environnement.
Au cours de ses terrains d’étude, elle est amenée à effectuer des entretiens avec des gestionnaires forestiers tant publics que privés, et parcourir les forêts limousines françaises et gaumaises belges.
Le mois de novembre fut notamment l’occasion pour elle de faire de l’observation participante sur le Plateau de Millevaches, où elle a accompagné des membres du Réseaux pour les Alternatives Forestières dans le marquage et la sélection des arbres d’avenir en futaie irrégulière.
Une thèse riche de rencontres et de partage au contact des arbres.130683169_3737287396317731_470680129431194605_o